Attila, roi des Huns

ATTILA

« Le fléau de Dieu »

Roi des Huns 434 - 453

En 375, se produisit le choc des Huns contre les Ostrogoths germaniques, qui vivaient au nord de la mer Noire entre le Danube et le Dniepr (Ukraine). Les Huns étaient des tribus guerrières qui avaient été chassées de Mongolie par les Chinois quatre siècles auparavant; établis dans l'actuelle Hongrie, ils avaient décidé de partir vers l'ouest et avaient soumis les Ostrogoths. C'est cette année de 375 que l'on considère comme marquant le début des grandes invasions et le commencement de la dislocation de l'Empire romain menacé de toutes parts dans ses frontières.

Après avoir vaincu les Ostrogoths, les Huns reprirent leur route vers l'ouest et s'attaquèrent aux Wisigoths, aux Burgondes, aux Alains, déclenchant ainsi des déplacements en cascades: Goths, Ostrogoths, Wisigoths, Vandales, Francs, Saxons, Burgondes, Alamans, etc., se butèrent les uns aux autres d'un coin à l'autre de l'Europe et se déversèrent sur l'Empire romain d'Occident. C'est la première fois que l'Occident est envahi par des populations asiatiques et est menacé de voir s'établir une civilisation étrangère à la sienne.

Bleda

Né vers 395, Attila était le fils du roi d’une tribu Huns, Moundzouk, qui meurt à la guerre en 408. Orphelin, il est adopté et élevé avec son frère aîné Bleda par son oncle, le roi Huns Rugas. En 434, Rugas partage l’Empire hunnique entre ses deux neveux, Attila et Bleda, avant de mourir.

De 435 à 440, le règne de Bleda est marqué par le triomphe des Huns face à l’Empire romain d’Orient. Ce triomphe est avant tout diplomatique et la politique de Bleda à l’égard des Romains est pacifique. Un doublement du tribut versé par l’empire romain d’orient de Constantinople et la promesse impériale de ne plus s’allier aux barbares ennemis des Huns (aux peuples germaniques restés indépendants) laissent les mains libres à Bleda. Aussi les Huns étendent-ils leur empire jusqu’aux Alpes, au Rhin et à la Vistule.

La prise de pouvoir d’Attila

Pourtant, dès 440, profitant de l’occasion qu’offre l’invasion de l’Arménie romaine par les Perses sassanides, invasion qui détourne momentanément l’attention de Constantinople des Huns, Bleda attaque à nouveau l’empire romain d’Orient. À ce moment, Attila n’aide son frère qu’en dernier recours, ayant entamé de son côté des pourparlers avec l’Empire. Il ne le fait sans doute que pour éviter d’être lésé sur le partage du butin. La politique séparée d’Attila lors de la guerre de 441-442 s’explique principalement par sa volonté de négocier avec les Romains la remise des princes héritiers huns qui s’étaient réfugiés dans l’empire à la mort de Rugas, dès 435. Ceux-ci auraient hérité du royaume en cas de décès de son frère.

Fin 444 ou début 445, aidé par ses vassaux germaniques, Attila fait assassiner son frère ainé Bleda et devient le seul roi des Huns. Deux Germains soumis aux Huns, le roi des Skire, Edika, et le roi des Gépides, Ardaric, fournirent en effet les forces nécessaires pour l’assassinat de Bleda qui eut lieu dans l’’«ordu» (tente) de ce dernier. Après avoir évincé et tué son frère Bleda, Attila parvint en 446 à regrouper sous sa houlette toutes les tribus de Huns.

A l’époque, l’empire des Huns était immense. Cette peuplade vivait initialement à l’est de la Volga, mais réussit à se forger un empire allant de la mer Caspienne jusqu’aux Alpes, en passant par l’actuelle Hongrie. Son centre se trouvait dans les environs de Györ.

Le règne d’Attila dure huit ans et est marqué, à sa mort, par un effondrement de la puissance des Huns, jusque-là patiemment bâtie sur les alliances militaires entre l’empire hunnique et l’empire romain d’Orient et sur la manne financière des tributs et rançons versés par Constantinople.

En réalité, il semble que dès l’assassinat de Bleda, les alliés germaniques d’Attila aient influencé celui-ci en favorisant la propension qu’il avait de se croire destiné à régner sur l’univers tout entier. Aussi Attila se fait-il désigner « Europæ Orbator » (empereur d’Europe) et s’empare, dès 445-446, de la province romaine de Pannonie Savie (le reste de la Pannonie étant déjà tenu par les Huns). Pour maintenir la fiction de l’administration romaine, il est même nommé maître de la milice par l’empereur romain Valentinien III.

Attila et l’empire romain

Depuis la cuvette danubienne où il est durablement installé, Attila menace alors l’empire romain. Le 27 janvier 447, un tremblement de terre détruit une grande partie de la muraille théodosienne de Constantinople et provoque une famine importante. Cette faiblesse de l’empire romain d’Orient permet à l’empire romain d’Occident d’être momentanément épargné par les visées d’Attila.

Attila, profitant de l’événement, jette son armée sur l’empire romain d’Orient mais il s’y embourbe : en réalité, l’empire ne paye pas son tribut et les versements des sommes précédemment dues sont interrompues. Les négociations de paix durent plusieurs années, sans aucun bénéfice pour les Huns.

Or, au moment même où elles vont aboutir, les tributs versés par l’Orient se tarissent définitivement. L’empereur Théodose II meurt dans un accident de cheval et le « parti des bleus » (parti des sénateurs et des aristocrates) triomphe : il est farouchement opposé à l’idée de payer les barbares pour acheter la paix.

N’ayant pu envahir ni soumettre l’Orient, Attila se retrouve pris dans le jeu diplomatique d’Occident en 450. L’épisode concerne Honoria, co-impératrice d’Occident, qui veut épouser Attila pour s’allier à lui et que son frère cadet Valentinien III force à prendre le voile pour préserver l’unité impériale. En 449, un scandale éclate et Honoria est envoyée à Constantinople dans un couvent chrétien pour que sa « virginité » soit mieux gardée. Honoria envoie alors sa bague à Attila pour lui demander de l’aide. Attila prend l’affaire au sérieux et accepte le bijou comme «dot», avant de demander la Gaule en tant qu’héritage impérial dû à sa «fiancée». Ses exigences se heurtent naturellement à un refus.

Bloqué en Orient, face au refus de Valentinien et à la disparition de Honoria, Attila se trouve contraint à l’automne 450 de déclarer la guerre à l’empire romain d’Occident, ce qui met un terme également au tribut versé par l’Occident.

L’invasion de la Gaule

À la tête d’une armée coalisée hunno-germanique, Attila se lance au printemps 451 dans une campagne contre la Gaule. Cette armée réunit les peuples Gépides (les plus nombreux), Wisigoths (dirigés par 3 rois frères dont le père du futur Théodoric Ier (Théodoric le Grand)), Skires, Suèves, Alamans, Hérules, Thuringes, Francs, Burgondes, Alains, Sarmates, elle est majoritairement germanique et les Huns n’en composent qu’une infime partie. Les tactiques qui ont précédemment fait leur succès contre les « civilisés » ne sont donc plus à l’ordre du jour.

Le 7 avril, Attila brûle Metz mais la Gaule lui résiste, d’abord à Paris, sous l’impulsion de sainte Geneviève, puis à Orléans, à l’instigation de saint Aignan d’Orléans avec l’appui des légions romaines de Flavius Aetius. Lors du siège de la capitale, sainte Geneviève eut de célèbres paroles : «Que les hommes fuient, s’ils veulent, s’ils ne sont plus capables de se battre. Nous les femmes, nous prierons Dieu tant et tant qu’Il entendra nos supplications».

À Orléans, où il compte franchir la Loire, Attila combat les Wisigoths de Théodoric Ier et les légions romaines de Flavius Aetius, en réalité composées de tous les peuples établis en Gaule à cette époque : Alains, Francs, Burgondes, Sarmates, Saxons, Lètes (colons barbares), Armoricains et même des Bretons venus d’Outre-Manche.

Les Huns sortent vainqueurs et c’est en Champagne que la bataille des Champs Catalauniques finale a lieu, sans doute moins d’une quinzaine de jours plus tard. Certains auteurs localisent cette bataille à 5 milles romains (7,5 km) de Troyes dans des champs près du village de Maurica ou Mauriacus (« campus mauriacus »). D’autres, plus anciens, la localisent près de Châlons-en-Champagne, l’antique Catalaunum d’où dérive le substantif attribué aux «Champs Catalauniques», à l’emplacement de l’oppidum gaulois de La Cheppe, improprement appelé « le camp d’Attila ». À la suite du carnage, Attila reste un moment en Gaule puis se retire vers le Rhin.

Attila aux portes de Rome

Au printemps 452, il attaque à nouveau en Italie. Son armée prend Aquilée, Padoue, Vérone, Milan, Pavie et se dirige vers Rome. L’empereur Valentinien III décide de négocier. Conduite par le pape Léon Ier, par le préfet Trigetius qui a déjà traité avec les Vandales de Genséric, et par le consul Aviennus, une délégation romaine va au-devant du roi des Huns et obtient une trêve. Entre temps, les troupes du nouvel empereur oriental, Marcien, ont franchi le Danube et menacent le cœur de l’empire hunnique. Après une rencontre avec le souverain pontife à Mantoue, le « fléau de Dieu » revint donc en Pannonie.

La fin de son règne

De retour dans son « ordu », le grand roi meurt subitement, au printemps 453, peut-être empoisonné, sans doute d’une hémorragie à la suite d’un festin donné à sa cour lors de ses noces avec une nouvelle épouse, Ildiko, pour son harem. Attila reçoit des funérailles royales et est enterré dans un triple cercueil, probablement sous le lit du fleuve Tisza en Hongrie actuelle, temporairement détourné pour l’occasion. C’est dans le plus grand secret qu’il fut inhumé. Même les esclaves qui avaient creusé sa tombe furent égorgés… Ses fils Ellac puis Attila II lui succèdent.

Sa succession dégénère en conflit entre les nombreux fils et petits-fils de ses nombreuses épouses (bataille de la Nedao en 454). Son empire se disloque et les tribus Huns se désunissent et reprennent des chefs parmi leur aristocratie dominante.

Les controverses généalogiques sur la descendance de Attila

Steven Runciman donne une descendance à partir du plus jeune fils de Attila , Ernakh, jusqu’à Kubrat, car les tzars des Bulgares prétendaient descendre de Attila.

Christian Settipani suggère une descendance plus plausible, même si certains passages d’une génération à une autre restent hypothétiques.

De nombreux généalogistes acceptent la thèse selon laquelle une fille de Attila serait une des nombreuses femmes de Ardaric, roi des Gepides. De ce fait toute descendance des rois des Gépides à partir du VII siècle serait aussi une descendance de Attila.

La donnée la plus certaine est l’alliance, bien documentée, entre la princesse des Gépides, Austrigusa, et Waccho, roi des Lombards. Or, selon Christian Settipani, Waccho et Austrigusa seraient des ancêtres de la mère et du père de Charlemagne... mais cette thèse aussi implique un certain nombre de spéculations...

Les descendants de Attila

I

Attila “le Fléau de Dieu” DES HUNS,

(n. 395c., + 453),

9° Roi des Huns 437-453

I

Ernak DES HUNS,

(n. 432c., + 476),

13° Roi des Huns 469-476

I

Chaba (Chola) DES HUNS,

(n. 470c.),

Prince des Huns

I

Edus DES MAGYARS,

(n. 502c.),

Chef des Magyars

I

Kadiha DES MAGYARS,

(n. 532c.),

Chef des Magyars

I

Chazew DES MAGYARS,

(n. 560c.),

Chef des Magyars

I

Kulchug DES MAGYARS,

(n. 502c.),

Chef des Magyars

I

Edur DES MAGYARS,

Chef des Magyars

I

Vergerus DES MAGYARS,

Chef des Magyars

I

Elendus DES MAGYARS,

Chef des Magyars

I

Avarius DES MAGYARS,

Chef des Magyars

I

Venedobel DES MAGYARS,

Chef des Magyars

I

Ugyek DES MAGYARS,

Chef des Magyars

I

Almus DES MAGYARS,

(n. 819c., + 895),

Chef des Magyars (Hongrois)

I

Arpad DE HONGRIE (ARPAD),

(n. 845c., + 907),

1° Prince de Hongrie 895-907

I

Zoltan DE HONGRIE (ARPAD),

(n. 886c., + 948),

2° Prince de Hongrie 907-928

I

Taksony DE HONGRIE (ARPAD),

(n. 931c.., + 972),

4° Prince de Hongrie 955-972

I

Michel DE HONGRIE (ARPAD),

(n. 955c., + 978c.),

2° Prince de Hongrie 907-928

I

Michel DE HONGRIE (ARPAD),

(n. 955c., + 978c.),

des Princes de Hongrie

I

Basile (Vasul) DE HONGRIE (ARPAD),

(n. 976c., + 1037),

des Princes de Hongrie

I

Bela I “le Champion” DE HONGRIE (ARPAD),

(n. 1016, + 1063),

6° Roi de Hongrie 1060-1063

I

Gheyza (Géza) I DE HONGRIE (ARPAD),

(n. 1044c., + 1077),

8° Roi de Hongrie 1074-1077

I

Almus DE HONGRIE (ARPAD),

(n. 1068c., + 1127),

des Rois de Hongrie, Duc de Croatie

I

Bela II “l’Aveugle” DE HONGRIE (ARPAD),

(n. 1109c., + 1141),

12° Roi de Hongrie 1131-1141, Roi de Croatie

I

Gheyza (Géza) II DE HONGRIE (ARPAD),

(n. 1130c., + 1162),

13° Roi de Hongrie 1141-1162, Roi de Croatie

I

Bela III DE HONGRIE (ARPAD),

(n. 1148, + 1196),

18° Roi de Hongrie 1172-1196, Roi de Croatie

I

André II DE HONGRIE (ARPAD),

(n. 1176, + 1235),

21° Roi de Hongrie 1205-1235, Roi de Croatie

I

Bela IV DE HONGRIE (ARPAD),

(n. 1206c., + 1270),

22° Roi de Hongrie 1235-1270, Roi de Croatie

I

Etienne V DE HONGRIE (ARPAD),

(n. 1240c., + 1272),

23° Roi de Hongrie 1270-1272, Roi de Croatie

I

Marie DE HONGRIE (ARPAD),

(n. 1257, + 1323),

Héritière du Royaume de Hongrie,

& Charles II “le Boiteux” D’ANJOU (CAPETIENS)

(n. 1248, + 1309),

Comte de Provence, Roi de Naples 1285-1309

I

Marguerite D’ANJOU (CAPETIENS),

(n. 1273, + 1299),

des Rois de Naples,

& Charles I DE VALOIS (CAPETIENS),

(n. 1270, + 1325),

Comte de Valois

I

Philippe VI DE VALOIS (CAPETIENS),

(n. 1293, + 1350),

Comte de Valois, Roi de France 1328-1350

I

Jean II “le Bon” DE VALOIS (CAPETIENS),

(n. 1319, + 1364),

Comte de Valois, Roi de France 1350-1364

I

Louis I D’ANJOU (VALOIS CAPETIENS),

(n. 1339, + 1384),

Duc d’Anjou, Comte de Provence, Roi de Sicile

I

Louis II D’ANJOU (VALOIS CAPETIENS),

(n. 1377, + 1417),

Duc d’Anjou, Comte de Provence, Roi de Sicile, Roi de Naples

I

René I “le Bon Roi René” D’ANJOU (VALOIS CAPETIENS),

(n. 1409, + 1480),

Duc d’Anjou, Comte de Provence, Roi de Sicile, Roi de Naples,

Duc de Lorraine, Duc de Bar

I

Yolande D’ANJOU (VALOIS CAPETIENS),

(n. 1428, + 1483),

Duchesse héritière de Lorraine et de Bar,

& Ferry VI DE VAUDEMONT,

(n. 1417, + 1470),

Comte de Vaudémont, Comte de Guise

I

Marie Marguerite DE VAUDEMONT,

(n. 1463, + 1521),

des Comtes de Vaudémont et Comtes de Guise,

& René D’ALENCON (VALOIS CAPETIENS),

(n. 1454, + 1492),

3° Duc d’Alençon

I

Anne D’ALENCON (VALOIS CAPETIENS),

(n. 1492),

des Ducs d’Alençon,

& Guillaume VIII PALEOLOGUE,

(n. 1493, + 1518),

23° Marquis de Montferrat

I

Marguerite PALEOLOGUE,

(n. 1510, + 1566),

Marquise de Montferrat,

& Frédéric II GONZAGUE,

(n. 1500, + 1540),

1° Duc de Mantoue, Marquis de Monferrato

I

Isabelle GONZAGUE,

(n. 1537, + 1579),

des Ducs de Mantoue,

& Ferrante Francesco II D’AVALOS,

(n. 1531, + 1571),

2° Prince de Francavilla, 2° Prince de Montesarchio,

3° Marquis del Vasto, 4° Marquis de Pescara

I

Alfonso II D’AVALOS,

(n. 1564, + 1593),

3° Prince de Francavilla, 3° Prince de Montesarchio,

4° Marquis del Vasto, 5° Marquis de Pescara,

I

Isabella D’AVALOS,

(n. 1585, + 1648),

4° Princesse de Francavilla, 5° Marquise del Vasto,

6° Marquise de Pescara,

& Iñigo III D’AVALOS,

(n. 1578, + 1632),

4° Prince de Francavilla

I

Francesca D’AVALOS,

(+ 1676),

des Princes de Francavilla,

& Marino II CARACCIOLO ROSSO,

(n. 1586, + 1630),

3° Prince de Avellino, 4° Duc d’Atripalda

I

Francesco Marino I CARACCIOLO ROSSO,

(n. 1631, + 1674),

4° Prince de Avellino, 5° Duc d’Atripalda,

I

Giovanna CARACCIOLO ROSSO,

(n. 1672),

des Princes de Avellino et Ducs d’Atripalda,

& Nicola D’AVALOS,

(n. 1665c., + 1729),

6° Prince de Montesarchio, 3° Prince de Troia

I

Diego I D’AVALOS,

(n. 1697, + 1764),

9° Prince de Francavilla, 8° Prince de Montesarchio, 5° Prince de Troia,

I

Maria Luisa D’AVALOS,

(n. 1748, + 1781),

des Princes de Francavilla, de Montesarchio et de Troia

& Giovanni Battista III PIGNATELLI,

(n. 1740, + 1805),

2° Prince de Moliterno, 4° Prince de Marsiconovo,

I

Maria Emanuela PIGNATELLI,

(n. 1755, + 1818),

Princesse de Marsiconovo et de Moliterno (héritière),

& Giuseppe Gerardo GALLONE,

(n. 1766, + 1806),

6° Prince de Tricase

I

Giovanni Battista GALLONE,

(n. 1800, + 1868),

7° Prince de Tricase, 6° Prince de Marsiconovo, 5° Prince de Moliterno,

& 1818 Maria Felicia STATELLA,

(n. 1801, + 1846),

des Princes de Cassaro

I

Giuseppe GALLONE,

(n. 1819, + 1898),

8° Prince de Tricase, 7° Prince de Marsiconovo, 6° Prince de Moliterno,

& 1847 Antonietta MELODIA,

(n. 1829, + 1924),

des Barons de San Pietro in Melicozza

I

Pietro Giovanni Battista GALLONE,

(n. 1855, + 1931),

9° Prince de Tricase, 8° Prince de Marsiconovo, 7° Prince de Moliterno,

& 1925 Giuseppina MONCADA,

(n. 1860, + 1946),

des Princes de Paterno’

I

Maria Bianca GALLONE,

(n. 1895, + 1982),

10° Princesse de Tricase, 8° Princesse de Moliterno,

& 1915 Augusto III DELLA POSTA,

(n. 1890, + 1970),

7° Duc de Civitella Alfedena

I

Simonetta DELLA POSTA,

(n. 1916, + 1986),

des Ducs de Civitella Alfedena,

& 1939 Aldo GUERRI DALL’ORO,

(n. 1913, + 2004),

Comte Guerri dall’Oro

I

Guido GUERRI DALL’ORO GALLONE,

(n. 1941, + 2019),

Comte Guerri dall’Oro, 11° Prince de Tricase, 9° Prince de Moliterno,

& 1971 Jeanine SCHNEIDER,

(n. 1945)

I

Simon GUERRI DALL’ORO GALLONE,

(n. 1985),

Comte Guerri dall’Oro, 12° Prince de Tricase, 10° Prince de Moliterno

& 2017 Coline MOREL,

(n. 1986)

I

Léon GUERRI DALL’ORO GALLONE,

(n. 2018),

Comte Guerri dall’Oro, 13° Prince de Tricase, 11° Prince de Moliterno

Les ascendants de Attila

I

Zemtur DES HUNS,

(n. 20c.),

Chef des Huns

I

Bolug DES HUNS,

(+ 123),

Chef des Huns

I

Bolchu DES HUNS,

(+ 156),

Chef des Huns

I

Zoltan DES HUNS,

(n. 110c.),

Chef des Huns

I

Berend DES HUNS,

(n. 140c.),

Chef des Huns

I

Kadcha DES HUNS,

(n. 170c.),

Chef des Huns

I

Oposch DES HUNS,

(n. 210c.),

Chef des Huns

I

Ethel DES HUNS,

(n. 245c., + 300c.),

Chef des Huns

I

Szemen DES HUNS,

(n. 267c., + 335c.),

Khagan des Huns

I

Turda “le Bossu” DES HUNS,

(n. 310c., + 386c.),

Khagan des Huns,

& Enga DES HUNS,

(n. 315c.)

des Khagan des Huns,

I

Moundzouk DES HUNS,

(n. 360c., + 408),

Prince des Huns

I

Attila “le Fléau de Dieu” DES HUNS,

(n. 395c., + 453),

9° Roi des Huns 437-453